LiensDescription : Pêle-mêle d'elle rubans et dentelles soupirs , délires vous voir ... revenir . AVERTISSEMENT Les photos publiées dans cet espace ne sont pas libres de droit .Il est strictemen
- Alors, qu'en penses-tu ? Tiré d'un rêve où il s'était enfoui, Fred leva le nez. - Qu'est-ce-que je pense de quoi ? Isidora ne souriait pas. D'ailleurs, il se fit la réflexion qu'il ne l'avait jamais vu sourire depuis deux ans qu'ils travaillaient ensemble. - De cette pub ? Évidemment. Lorsqu'elle prenait ce ton sec, c'est qu'il y avait de l'exaspération dans l'air. Cela, par contre, il connaissait. Il se força à regarder l'affiche, cette tasse de chocolat sans aucun intérêt avec ce liquide blanchâtre vaguement mousseux. Mais entre cette image et lui il y avait les jambes d'Isadora. Et de nouveau son regard s’arrêta. Voilà qui était vraiment chocolat. Chocolat noir, chocolat au lait, plus sombre si l'on montait, plus clair en descendant. Des envies douces, des idées de mousse sur cette transparence, onctueuses, fermes et sucrées. Gourmandise des yeux, imagination des sens. Il croisa son regard, un peu inquiet pour une fois. - Quoi ? - Je pense qu'on devrait faire l'affiche avec tes jambes qui parlent mieux de plaisir-chocolat que cette tasse à la noix ! Il se tut d'un coup, inquiet de sa trop grande spontanéité. Étonné aussi. Elle souriait. C'était bien la première fois.
L’œil averti saura, à coup sûr, se régaler de la douceur des étoffes, si agréables à caresser du regard, et du revers qui, à peine, se dévoile... timide ? ;)
- Alors, qu'en penses-tu ?
Tiré d'un rêve où il s'était enfoui, Fred leva le nez.
- Qu'est-ce-que je pense de quoi ?
Isidora ne souriait pas. D'ailleurs, il se fit la réflexion qu'il ne l'avait jamais vu sourire depuis deux ans qu'ils travaillaient ensemble.
- De cette pub ? Évidemment.
Lorsqu'elle prenait ce ton sec, c'est qu'il y avait de l'exaspération dans l'air. Cela, par contre, il connaissait.
Il se força à regarder l'affiche, cette tasse de chocolat sans aucun intérêt avec ce liquide blanchâtre vaguement mousseux.
Mais entre cette image et lui il y avait les jambes d'Isadora.
Et de nouveau son regard s’arrêta.
Voilà qui était vraiment chocolat.
Chocolat noir, chocolat au lait, plus sombre si l'on montait, plus clair en descendant.
Des envies douces, des idées de mousse sur cette transparence, onctueuses, fermes et sucrées.
Gourmandise des yeux, imagination des sens.
Il croisa son regard, un peu inquiet pour une fois.
- Quoi ?
- Je pense qu'on devrait faire l'affiche avec tes jambes qui parlent mieux de plaisir-chocolat que cette tasse à la noix !
Il se tut d'un coup, inquiet de sa trop grande spontanéité.
Étonné aussi.
Elle souriait.
C'était bien la première fois.
Comment ne pas sourire en lisant vôtre nouvelle
Comment ne pas esquisser une sorte de gourmandise
en pensant à cette mousse qui danse dans la tasse
au jeu de la cuillère qui fait fondre le sucre ...
Comment ne pas s'évader à Biarritz , Vienne , Venise
fondre ... au café Florian ...
Fred est drogué , shooté , par les vapeurs de chocolat
ou par les bas coutures de Isidora ...
Mille mercis à vous François pour cette agréable rêverie , chaude et parfumée
Je vous embrasse